Comment retrouver un aïeul prisonnier en 1939-1945 ?
Avec la débâcle, les familles restent souvent sans nouvelles d’un père, d’un frère, d’un époux…
Un silence qui dure quelques jours, quelques semaines ou plus.
Le premier envoi était une carte-avis de capture, remplie par le prisonnier dès l’arrivée et l’enregistrement au camp, pour annoncer le lieu de détention
Si le prisonnier changeait de camp, il prévenait sa famille par une carte spéciale, sans correspondance, précisant simplement la nouvelle adresse, avec le même matricule.
quelques exemples :
diaporama de différents avis de capture…
a suivre…