un très bon livre sur le STO:

Yves GUYET

« Berlin 1945. Je suis né dans les ruines du Reich. Un enfant de la guerre raconte… »

par les éditions Jourdan.

 

 

 

Pour fournir les travailleurs civils promis par Vichy, un autre dispositif de réquisition fut mis en place.

fascicule de la visite du Maréchal Pétain à St Etienne

fascicule de la visite du Maréchal Pétain à St Etienne

La loi du 16 février « portant institution du Service du travail Obligatoire » prévit un service de travail obligatoire de tous les adultes français de sexe masculin.

Les hommes nés en 1920, 1921 et 1922 furent les premiers concernés. Que ce ne soit plus uniquement les ouvriers de l´industrie qui soient appelés fut présenté par Vichy comme une mesure d´égalité sociale. De plus, le principe de recrutement général et par classe d’âge des jeunes hommes et la durée de deux ans de ce service devait l’apparenter au service militaire et le remplacer.

Il était important que le futur travailleur soit en bonne santé,d’où l’obligation d’une visite médicale

convocation visite médicale sto avant de partir en allemagne

convocation visite médicale sto avant de partir en allemagne

 

Et ensuite, si tout est conforme, voyage en train , direction, le Reich

 

convocation sto pour prendre le train direction Allemagne 17 06 1943

convocation sto pour prendre le train direction Allemagne 17 06 1943

 

Il devait contribuer à ce que le service de travail soit considéré comme un devoir national. C´est ainsi qu´argumentaient les papiers qui furent donnés aux appelés.

En revanche, ce qui est plus rare, ce sont les courriers des travailleurs français volontaires, c’est-à-dire avant juin 1942.

Quelques affiches de propagande…

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Statut et conditions de vie et de travail pour un STO.

Le statut et la réalité de vie et de travail des travailleurs civils français en Allemagne reflètent de manière évidente le conflit entre les considérations de sécurité d’une part, selon lesquelles tout étranger était un ennemi potentiel pour l´ordre public et la “pureté de la race”, et d’autre part les nécessités découlant du besoin de main d´œuvre.
diaporama de la bande dessinée » les aventures de célestin tournevis »,propagande de vichy pour aller travailler en Allemagne.

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Le rendement des ouvriers qualifiés dans l´industrie de l´armement ne pouvait pas être atteint par la pure contrainte, mais demandait un minimum de motivation et de coopération de leur part et nécessitait un approvisionnement suffisant comme un minimum de respect social.
Ce qui est fort mal connu, c’est qu’il était possible, sous certaines conditions, que la femme, ou compagne puisse suivre son compagnon sur son nouveau lieu de vie.

affiche STO pour les épouses

la propagande, vantant, le Reich, la qualité de vie, est habilement orchestrée…
De plus, il ne fallait pas brusquer le gouvernement de Vichy et saper les efforts de recrutement par la mise en esclavage pure et simple des travailleurs français.
Cependant, une fois la réquisition de force établie, de tels égards paraissaient moins indispensables. Le travail mais aussi les loisirs des travailleurs civils furent de plus en plus réglementés et canalisés. Dans les camps, des règlements intérieurs furent promulgués, la représentation des Français fut intégrée à la Deutsche Arbeitsfront et la Gestapo eut des pouvoirs d’intervention illimités à l´intérieur des camps et des usines.
Un appareil de répression à l’égard des étrangers se mit en place.
Leurs droits comme l’utilisation de bains publics, de transports en commun et l’égalité formelle entre travailleurs allemands furent amputés de fait. Aux yeux des « forces de l’ordre », le contact même des travailleurs « libres de l’Ouest » comme on les dénommait, avec la population allemande, était un grand danger pour l’intégrité morale du « peuple allemand » et on aurait préféré pouvoir les interdire.
Le barème des salaires des travailleurs civils français correspondait à celui des travailleurs allemands de même catégorie, bien que la part du lion soit partie directement pour des retenues pour la table et le logis.
Toutefois, il y avait de moins en moins de produits à acheter dans le commerce, si bien que la possession d´une carte de ravitaillement (auxquelles les étrangers n´avaient, en règle générale, pas droit) permettant l’accès à des biens rationnés était plus décisive pour le niveau de vie que d´avoir de l´argent liquide qui servait pour les sorties le soir ou sur le marché noir. A la différence des prisonniers de guerre, les travailleurs civils disposaient d’un peu de temps entre leur convocation et leur départ pour faire leurs bagages.
On leur donnait même une feuille de renseignements où il était signalé qu´ils n´auraient pas de carte de ravitaillement en Allemagne pour vêtements et chaussures.
On leur fournissait également une liste d’effets qu´ils devaient apporter.
La seule possibilité pour remplacer les vêtements usés étaient les paquets envoyés de France et le marché noir.
Les chaussures en particulier étaient devenues très rares en Allemagne. Le ravitaillement des travailleurs civils dans les camps et les usines était le même que celui des prisonniers de guerre.
Eux aussi dépendaient des paquets envoyés de France, qu´ils pouvaient par contre recevoir de manière illimitée.
En ce qui concerne les horaires de travail, il n´y n’avait pas de différences fondamentales entre les travailleurs allemands et étrangers ou entre prisonniers de guerre et travailleurs civils français.
Par ailleurs,le travailleur disposait d’une caisse d’assurance maladie.
carte d'assurance maladie allemande pour STO

carte d’assurance maladie allemande pour STO

 

carte d'assurance maladie allemande pour STO

carte d’assurance maladie allemande pour STO

 

prélèvements départs sto

prélèvements départs sto

Loi du 22 mars 1942 pour le STO

La loi du 22 mars 1942 créa un Service de la Main-d’œuvre française en Allemagne:
la SMOEFA

(transformé par la loi du 7 février 1943 en Commissariat général à la Main-d’œuvre française en Allemagne). Dirigé par Gaston Bruneton, cet organisme avait pour mission de veiller, en Allemagne, sur les intérêts des ouvriers français (en les groupant dans une communauté française) et de veiller, en France, sur les intérêts des familles de ces ouvriers.

La création du SMOEFA fut la contrepartie de l’adhésion du gouvernement français à la politique allemande de recrutement de la main-d’œuvre française.

60 heures par semaine n´étaient pas l´exception

Pour ce qui était des congés, les autorités allemandes se trouvaient devant un dilemme: d´un côté, on ne voulait laisser partir en congé des travailleurs car on craignait qu´ils ne reviennent pas et qu’ils répètent autour d’eux qu´ils étaient mécontents des conditions de travail en Allemagne – cela aurait gêné le recrutement.

Mais d´un autre côté, c´était au moins une aussi mauvaise publicité de ne pas laisser partir ces travailleurs bien que leur contrat les y autorise. La prolongation forcée du contrat de travail en automne 1942 fit augmenter de manière si forte le nombre de personnes ne revenant pas des congés que ce chiffre passa de 42,3% en mai 1942 à 84% en été 1943, si bien que, après quelques hésitations, les congés furent supprimés et que personne n´eut plus le droit de quitter le pays..

Plus de 700.000 travailleurs civils français, ce qui correspond environ au nombre d´habitants de Marseille c´est-à-dire 2% de la population française ou 6% des hommes en âge de travailler à cette époque ont été amenés contre leur gré en Allemagne afin d´y travailler.

carte d'identité pour travailleur STO

carte d’identité pour travailleur STO

 

carte d'identité pour travailleur STO verso

carte d’identité pour travailleur STO verso

En 1943, ils représentaient le plus grand groupe de travailleurs civils étrangers masculins (26,3%)

13 07 1943 commissariat sto lettre aux maires

13 07 1943 commissariat sto lettre aux maires

 

01 09 1943 commissariat sto lettre aux maires

01 09 1943 commissariat sto lettre aux maires

en 1944 ils étaient le troisième groupe dans l’ensemble des étrangers.

05 01 1944 commissariat sto lettre aux maires

05 01 1944 commissariat sto lettre aux maires

Décret du 1er septembre 1942 pour le STO

 Le 1er septembre 1942, un décret devait ordonner la réquisition de force de main d´œuvre en France.
ordonnance Saukel 05 06 1942

ordonnance Saukel 05 06 1942

Loi du 4 septembre 1942 pour le STO

 

prisonniers de guerre brochure 'la releve'

prisonniers de guerre brochure ‘la releve’

La  loi relative à l´utilisation et à l´orientation de la main d´œuvre  entre en vigueur cette loi introduisit une obligation de travail générale pour les hommes et la possibilité d-assignation au travail obligé pour tous les hommes entre 18 et 50 ans ainsi que les femmes célibataires entre 21 et 35 ans.
recensement sto classes 39 40 41 42

recensement sto classes 39 40 41 42

 

01 1942 déclaration de changement de domicile

01 1942 déclaration de changement de domicile

Cette loi resta également une base décisive pour les mesures de réquisition qui devaient suivre.

1943 certificat de travail pour éviter le STO

1943 certificat de travail pour éviter le STO

 

avis de mutation pour le controle STO

 

1943 avis de mutation pour le controle STO

TRAVAIL, TRAVAIL OBLIGATOIRE, SERVICE, INSTITUTION.

affiche propagande pour le travail

affiche propagande pour le travail

 

diaporama de photos de GUILLOT rené et de ses camarades de captivité, déportés du travail au titre du STO à Stettin en 1943, 44, 45, photos aimablement mises à disposition par madame Cordier, petite fille de mr guillot

(qu’elle en soit remerciée…)

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photos ouvriers sto

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Loi du 16 février 1943 pour le sto

convocation à la visite médicale pour le STO

convocation à la visite médicale pour le STO

Portant institution du service du travail obligatoire (J.O. 17 févr., p. (461).
Le Chef du Gouvernement
message du maréchal Pétain

message du maréchal Pétain

Vu les actes constitutionnels n° 12 et 12 bis ; 
Le conseil des ministres entendus
Décrète :
Art. 1er.
Pour tout Français ou ressortissant français du sexe masculin, âgé de plus de vingt ans et résidant en France, les obligations résultant des dispositions des titres 1er et III de la loi du 4 sept.1942 relative à l’utilisation et à l’orientation de la main-d’oeuvre comportent notamment l’exécution d’un service du travail obligatoire.
Art. 2.
Le service du travail obligatoire sera effectué par année d’âge ou fraction d’année d’âge. la durée du service du travail obligatoire est fixée à deux ans. Toutefois, cette durée pourra être réduite par décrèt pris en conseil des ministres.
Art. 3.
Le service du travail obligatoire pourra être accompli dans l’emploi occupé à la date de l’appel lorsque cet emploi est conforme aux besoins du pays. Les jeunes gens astreints au service obligatoire du travail bénéficieront des mêmes conditions de travail et de salaire que les travailleurs libres occupant les mêmes emplois.
Art. 4.
Des décrets fixeront les modalités d’application de la présente loi.
Art. 5.
Toute personne qui enfreint la présente loi ou les mesures prises pour son application est passible d’un emprisonnement de trois mois à cinq ans et d’une amende de 200 à 100 000 fr. ou de l’une de ces deux peines seulement qui pourront être portées au double en cas de récidive. Les mêmes peines sont applicables à toute personne ayant prêté son concours à toute manœuvre tendant à faire échec ou ayant fait échec aux dispositions de la présente loi des mesures prises pour son application.
notice sto en cas de mutation

notice sto en cas de mutation

 

notice sto en cas de mutation

notice sto en cas de mutation

En particulier, ces peines sont applicables à tout employeur ayant embauché des personnes visées à l’art. 1er de la présente loi et astreintes au service obligatoire du travail par les décrets d’application prévus à l’art. 4 si celle-ci n’ont pas justifié avoir satisfait aux obligations de la présente loi et des décrets pris pour son application.Art. 6. Le présent décret sera publié au journal officiel et exécuté comme loi de l’État.

déclaration de non présence à une convocation pour le STO

 

Du recrutement à la réquisition forcée En France

 

affiche sto

affiche sto

Jusqu’en été 1942, les occupants allemands s’étaient contentés d’un recrutement sur la base du volontariat à partir de 300 agences réparties dans les deux zones agences plus connues sous le nom:

  Office de placement allemand

diaporama d’un fascicule édité par l’office de placement Allemand

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Elles étaient aidées par tout un ensemble de recruteurs ou rabatteurs , payés à la commission. A partir de juin 1942, on put signer des contrats pour l´Allemagne également dans des agences françaises.

Payés à la commission, des agents recruteurs semi-officiels et privés étaient également actifs. Le haut taux de chômage offrit dans les premiers mois des conditions favorables pour le recrutement.

 

affiche sto de l'office de placement allemand

affiche sto de l’office de placement allemand

Puis la réorganisation de la production -principalement à la demande des Allemands et en leur faveur  fit tarir l’afflux de volontaires alors que le besoin de main d’œuvre en Allemagne augmentait sensiblement.

Les efforts de propagande furent alors renforcés et une politique délibérée sur les salaires et le temps de travail fut mise en place pour libérer de la main-d’œuvre.

 

le STO en Norvège

 

Des Français réquisitionnés au titre du STO ont été envoyés en Norvège à partir de 1943, en nombre bien moins important qu’en Allemagne: un chiffre d’environ 6 000 travailleurs français en Norvège est avancé…

2 principales destinations :

la région des Fjords autour de Bergen et Stavanger :

  • baraquements de l’AS Nordag à Øvre Årdal
  • Saudasjoen, Årdalstangen
  • le Franken Lager à Porsgrunn

L’AS Nordag à Øvre Årdal, Saudasjoen, Årdalstangen

L’AS Nordag, société de droit Norvégien, était une filiale de la Nordische Aluminium AG, elle même une société dépendant de l’armée de l’air allemande (Luftwaffe).

 

sto en norvege recto

sto en norvege recto

 

sto en norvege verso

sto en norvege verso

Le rôle de cette société était de construire une usine d’aluminium dans la région des Fjords pour exploiter l’aluminium norvégien.

En effet cet aluminium avait une importance stratégique considérable pour la Luftwaffe qui en avait grand besoin pour la construction d’avions de guerre.

sto norvege

sto norvege

 

sto norvege

sto norvege

les STO affectés à la construction de l’AS Nordag étaient avant tout Norvégiens (La Norvège est d’ailleurs le premier pays où les Allemands ont réquisitionné la main d’œuvre).

Les travailleurs français étaient semble-t-il des STO transférés d’Allemagne pour des raisons disciplinaires.

Les conditions de vie pour les STO de l’AS Nordag étaient très dures : les baraquements sont décrits comme des camps entourés de barbelés, les travailleurs devaient subir les bombardements incessants de la RAF (d’ailleurs l’usine ne fut jamais terminée pour les Allemands : sa construction a été achevée après la guerre), et le travail en lui même était très pénible.

Le Franken Lager à Porsgrunn

 très peu d’informations sur ce camp (connu également sous le nom de « Miltenberg Lager ») qui était un camp militaire installé par les Allemands.

 

sto en norvege 2 recto

sto en norvege 2 recto

 

sto en norvege 2 verso

sto en norvege 2 verso

Il  semble que les STO français y ont été amenés pour travailler à la construction de fortifications sous la supervision de l’Organisation Todt, mais sans trop d’éléments pour étayer cela!

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a suivre…

52 réflexions au sujet de « le service du travail obligatoire STO »

  1. Bonjour

    Mon père, Raymond Godard a été prisonnier de guerre au STO de l’AS Nordag 7 avril 1943 au 9 juillet 1945
    Quelqu’un en a-t-il entendu parler ?
    D’avance merci

    • En consultant ce cite, à la recherche d’informations sur mon père, j’ai vu votre message. Mon père a été réquisitionné STO dans la même période que le votre. De plus, chose étonnante, nos pères avaient le même nom. Je serai heureux de converser avec vous.
      Dans l’attente de vous lire

  2. Je recherche des informations sur mon oncle Auguste Levitre, originaire de Dol-de-Bretagne, déporté au titre du STO et décédé à Stettin en 1943.

  3. Quelqu’un aurait il des infos sur mon père Pierre Paqueraud envoyé par le STO dans une ferme du côté de Torgau.
    Merci d’avance.

  4. Merci pour ce site que je découvre et qui est très riche d’information qui vont me servir car j’écris un livre sur le vécu de mon beau-père parti en Allemagne dans le cadre du STO. Il était dans un lag à Gehrden vers Hanovre. Parti en décembre 1942 pour 6 mois lui avait-on dit et il y est resté 2 ans et demi sans pouvoir revenir en France. Nous avons pu retracer son vécu grâce aux lettres envoyées à sa fiancée. En mars 1943 il n’avait plus le droit d’envoyer qu’une lettre par mois et des cartes entre temps … puis en août 1944 plus de courrier du tout semble-t-il, on n’a plus de lettres et d’autres dont le père ou beau père était au STO ont ces mêmes lacunes. Hanovre a été détruite et les américains sont arrivés en avril 1945 pour les libérer (mon beau père l’a écrit hâtivement dans un cahier). Il est rentré en mai 1945. On ne sait rien non plus sur les conditions de son retour.
    De ce vécu que retient-on : la solitude, le travail épuisant (12 heures par jours souvent 7 jours sur 7 !), la faim, l’ennui, l’exil et la peur grandissante au fur et à mesure que les bombardements se faisaient plus nombreux et plus intenses ! J’ai découvert tout cela car souvent on entend dire que ceux qui étaient partis au STO étaient lâches (j’en connais qui ont mieux vécu la guerre !), eux mêmes en revenant n’ont pas dû être considérés et ils ont mis du temps avant que ce soit reconnu comme une déportation. Mon beau père n’en a jamais parlé et nous avons découvert ces 2ans et demi de souffrance et de peur à travers ces lettres.
    Si d’autres ont eu des parents dans ce même lag, je veux bien échanger avec eux.
    Merci.

    • et oui monsieur le sto ne fut pas une sinécure la faims toujours faims et les bombardement les copains autour de vous qui ne se relevaient pas car les bombardements sur les usine tuaient aussi les français en sto tout cela ma fut racontait par mon père qui ne sans est jamais remis et effectivement 12 heure de travail de jour ou de nuit !!puis après guerre la suspicions !! comme si il etait coupable . de plus mon père luis a une histoire particulière peu connue il etait sous les drapeau jusque en 1942 en zone dite libre armé d’armistice puis à la suite des événements zone libre envahie il furent démobiliser et consignés de casernes pendant 1 mois et puis envoyé en Allemagne au titre des sto soit des prisonnier de guerre qui on etait transformé par vichy et les allemands en sto !!!!

  5. Mon père Raymond SCHUMPP a été déporté STO de 1943 à mai 1945 à Magdebourg dans les usines KRUPP . Il a vécu l’enfer des bombardements nuit et jour en fin de conflit et se rappelait très bien le bitume des trottoirs qui brûlait sous les effets du phosphore . Lui et ses copains étaient arrivés au stade d’esclaves errant et mourant de faim . Avant cela il était dans la marine et à vécu l’abominable défaite de la France après de terribles bombardements allemands cette fois (Dunkerque , Veules les Roses , Le Havre !)
    Je lui dois la vie par son courage .

    • Bonjour, je recherche des récits sur la vie à Magdebourg pendant cette période pour un Documentaire.
      Pouvez-vous vous mettre en contact avec moi? MERCI beaucoup.

  6. Je recherche des documents et des photos, pour une exposition, dans notre Commune de( Boulogne 85140), relatant tous les événements au cours de la Guerre 1939-1945.
    Mon Papa était STO à Stettin il est parti le 10 Juin 1943 et rentré le 30Mai 1945. il s’appelait Roger Nauleau né le 27Mars 1922 .Il était Agriculteur à la Raffinière de Dompierre sur yon 85170

    Si vous pouviez me faire partager des photos et documents je vous remercie Monique

    • bonjour
      si divers documents ou photos peuvent vous servir pour votre expo, aucun souci si ce n’est de nommer mon site comme source
      merci d’avance

    • Mon père a été déporté à stettin
      Il était né en 1922
      J ai retrouvé quelques photos

      • Après quelques recherches , je sais que mon père travaillait
        A Ostwin du 16 juin 1943 au 16 janvier 1944
        et a Swinpmude du 16 janvier 1944 au 25 mai 1945
        Je pense qu’il travaillait en Usine et les Stalags les plus proches portent le nom de
        Wollin
        Gristroww
        Schutzendorf
        Baumgarten mais je n’ai aucun renseignement dans lequel il pouvait être
        Si vous pouvez me passer votre site comme source Merci

      • bonjour,
        mon père aussi a été déporté STO de mars 1943 à juin 1945 à Stettin, également né en 1922 dans la haute loire. Je serai heureuse d’avoir des infos car il est décédé en 1960 des suites de la déportation et je ne connais rien de cette période.
        merci

  7. Mon pere BONNEFOY CASIMIR etait STO car il etait né en 1922 — venant de la haute loire
    apres un sejour a berlin dans une usine d armement il a eté muté en autriche dans une ferme d etat
    ou les conditions etaient plus humaines et manger a sa faim.
    Il ne voulait pas parler de ces sejours etant traumatisé et se mettait a pleurer d ou notre silence et nos manques d informations.On n ozait pas poser d autres questions

    Il est maintenant DCD mais on peut toujours se poser plein de questions sur cette époque .
    ********* j e veux bien correspondre avec des enfants du STO**********

    • Bonjour Monsieur, suis fils de STO … Mon père André DOUCEY , décédé en 1982, était à BRAUNSCHWEIG, puis à la suite des bombardements, l’usine fût décentralisée , il parti pour ALFELD AM LEINE . Je l’ai reconduit en 1976 dans ces lieux… … que de souvenirs racontés par papa , c’était émouvant et très captivant!! Il est né le 24 01 1921. Est resté 30 mois STO. Il était dans une usine où il se fabriquait des moteurs d’avions, vers la fin de la guerre ils accouplaient deux moteurs pour faire des moteurs de vedettes rapides ( bateaux) Voilà quelques mots …. A vous lire ! Très CDT !
      François DOUCEY

    • Je viens de découvrir ce site. Mon père, Charles LEBRE est né en 1922. Il s’est évadé du STO, je n’ai jamais su dans quelles circonstances. Il s’est réfugié dans la Haut-Loire, côté Langeac, Pinols, berceau de la famille.

      Amicalement

  8. Mon père Guillaume Blanchet né en juin 1920 a été pris pour le STO dans les Cotes d’Armor (22) et envoyé à swinemunde entre septembre octobre 1943 et mai 1944. Je recherche des documents ou autres sur son séjour et sur son retour. Il est passé par waldhugel en octobre 1944, Lwenteshagen en janvier 1945, et Luneburg en juin 1945. Il était horloger, J’ai connu deux anciens de ses camarades: André Gére coiffeur dans les Landes, et Georges Saudement de Nice. merci de donner suite si renseignements

  9. Je recherche le parcours de mon père Etienne Baillette né en 1922 dans le département des Pyrénées Orientales, agriculteur et pris par le STO . Il a été successivement chauffeur d’un médecin et homme à tout faire dans un hôpital. Suite a ses rebellions il fut envoyé dans une ferme puis sur le front russe. Il parlait très peu de cette période.

  10. Mon père, né en 1922, était un requis du S.T.O. de juin 1943 à mai 1945. Je suis en train d’écrire ce qu’il a vécu en Allemagne car il m’a légué ses souvenirs et quelques documents de cette époque : protestation de la SNCF où il travaillait pour tenter d’empêcher son départ, passeport, carte de travail, carte de service, carte de rapatriement, certificat du ministère des prisonniers, déportés et réfugiés et aussi une vingtaine de photos de compagnons d’infortune et une liste de noms et d’adresses de ses compagnons de chambrée

    • BRAVO pour l’écriture des » mémoires » de votre Père STO, comme le mien! Ai déjà fait quelques commentaires sur ce site mais pas de réponse!
      A Vous lire!
      François Doucey

    • Bonjour
      Mon père rené Gianini a été requis pour le STO,
      Il travaillait à la SNCF. Il demeurait à Paris ou à Ivry sur seine
      Il est né en 1922. Je sais qu’il en a beaucoup souffert mais n’en parlait pas.
      Je recherche tous renseignements sur le lieu où il a été envoyé.
      Pourriez vous me guider.
      cordialement

  11. bonjour
    je me pose beaucoup de questions concernant le STO de mon père
    né le 16 février 1943 il fut requis, selon ses écrits, pour le STO le 16/2/1943 et arriva à Bochum en avril 1943*
    il a été rapatrié le 3/5/1946 à Vincennes
    il a eu beaucoup de chance
    selon ses récits
    Après avoir dit qu’il était dessinateur industriel, un cousin lui envoya des livres, car il ne connaissait rien de ce métier
    je ne sais comment il changea alors son fusil d’épaule et enseigna le français dans une école de langue, anciennement Berlitz, mais rebaptisée du Reich
    Je me demande où il logeait…
    en fait quand les bombardements s’intensifièrent il n’eut plus de toit au dessus de sa tête et alla retrouver la famille d’une de ses élèves. il logea chez eux et finit par épouser cette élève, ma mère
    bien sur, les bombardements et les privations étaient là, mais je n’ai jamais entendu parler de conditions sévères de détentions
    y a avait il différentes sortes de détentions?
    mon père qui avait 19 ans en 1943, avait il été engagé volontaire, même si dans ses documents c’était écrit « requis »
    a t il été privilégié car enseignant, d’ailleurs comment avait il pu faire pour être enseignant, alors que tant d’autres travaillaient en usine?
    son métier d’avant avait été ouvrier électricien dans une entreprise de mécanique.

    Si quelqu’un pouvait m’aider à y voir plus clair, ce serait top, car cette partie de mon histoire familiale reste floue et mon père ne peut plus me raconter, car décédé

    merci par avance
    Annemarie Brienne

  12. Bonjour
    Je recherche des documents sur le sto en Tchécoslovaquie.
    Mon grand père, Jean Bertrand nèen 1920, était à ( je ne suis pas sure de bien lire le nom ecrit sur une vieille carte ) a jungbuch en 1943.
    Je commence juste mes recherches et je ne sais pas trop comment m y prendre.
    Merci d avance pour tous les renseignements et filons que vous pourrez me fournir.

    • Bonjour,
      Je suis également intéressée par toute trouvailles que vous pourriez faire. Mon grand-père a été envoyé dans le cadre du STO à Žacléř, à quelques minutes de Jungbuch. Avez-vous une adresse personnelle à laquelle je pourrais vous contacter ?
      Merci d’avance

  13. Bonjour, mon père est né le 27 Novembre 1922, il était en Allemagne pour le STO, à Göttingen. Avez vous des informations sur ce camp? Y a t il encore des personnes en vie originaires de Seine-Maritime, ou des départements limitrophes. Par avance merci.

  14. Bonjour,
    Je cherche des renseignement sur mon père né en 1924 à Nantes et déporté STO du 18 mars 1943 au 30 mai 1945 à Stettin. J’aimerais savoir ou il était exactement et ce qu’il faisait. Si certains de ses camarades de camp ont des infos merci beaucoup de me les communiquer

  15. Bonjour
    Mon père, Pierre BAUD, né le 5 juillet 1922, à quitté son domicile au Perrier, en Vendée, le 21 juin 1943, appelé dans le cadre du STO, pour Kreuz en Pomeranie, où il est resté jusqu’au 2 octobre 1943. Il est ensuite allé à Torgelow.
    Il a laissé une liste de 50 jeunes hommes avec lui, originaires principalement des départements de l’Aisne, de la Somme, du Morbihan et de Vendée.
    Quelqu’un a-t-il des infos sur ce cam ? Mon père a laissé un carnet relatant son retour en France mais rien sur la vie là bas.
    Merci à qui pourrait nous en parler.

    • Bonjour Madame ,
      il existe des livres : EUX LES. STO!
      Mon Père était à Braunsweig puis Alfeld am Leine …Suis retourné avec lui en 1976…. que de souvenirs: je vous en raconterais pendant des heures et des heures , de son séjour , Papa y est resté 30 mois …
      Très cordialement !
      François Doucey

  16. Cher monsieur ou madame,
    Vous serez intéressés dans la mémoire historique de les Chemins de Évasion pendant de la Seconde Guerre mondiale au cours des Pyrénées Basque, étant donné que les citoyens de votre pays ont été parmi ceux qui ont été portés à la sécurité par les guides Basque (entre autres) pendant ces jours sombres.
    Nous vous invitons à participer à notre Sentier de la Mémoire Historique de la chapelle Saint Sauveur (Mendive, au Pays basque français) jusqu’à Orbaizeta en Navarre, qui aura lieu le week-end des 23-24 juin 2018. Afin de participer, en tant que marcheur ou non-marcheur, aux randonnées commémoratives et / ou aux événements d’hommage, une inscription préalable est requise auprès de l’Association des Sentiers de la Liberté des Pyrénées Basques (SLPB).

    Plus d’informations (le document d’information détaillant le programme de notre événement de marche SLPB 23-24 juin 2018; le formulaire d’inscription pour le même; et un formulaire d’adhésion SLPB pour ceux d’entre vous qui, indépendamment de la participation à l’événement de juin, souhaitent rejoindre l’Association: basquefreedomtrailsww2@gmail.com

    Meilleures salutations,

    Joe Linehan (Président SLPB) et John Morgan (Secrétaire)

  17. Bonjour,
    Je suis à la recherche d’un déporté STO à Magdebourg dans les années 1941-1944, environ. Il s’agit de PAPIRO Narcisse né en décembre 1921 en Italie. Je n’ai pas d’autres renseignements à fournir car comme la plupart de ces prisonniers, ils ne parlaient jamais de cette période de leur vie. J’ai cherché sur de nombreux sites consacrés au STO mais en vain. La moindre piste m’aiderai aussi beaucoup.
    Merci.

  18. Bonjour,
    Je recherche des informations sur la période où mon père a été incorporé au STO dans les ALPES MARITIMES entre 1944 et 1945. Il s’agit de Albert VALLET né le 18 avril 1923 à Londres.
    Si quelqu’un peut me dire où trouver trace de son séjour en Allemagne, je l’en remercie à l’avance
    Ariane VALLET
    sa fille

  19. Bonjour. Désirant connaître le destin de mon Père Jean Charles Théophile QUIGNON né le 20 Avril 25 enlevé par la police allemande à la sortie d’un cinéma à St Denis alors tout jeune homme de 17-18ans pour être envoyé en banlieue de Stuttgart pour travailler pour le STO. Je me souviens qu’il racontait que de jeunes filles russes travaillées pas loin et rentrées le soir le visages recouverts de poudre blanche. Après le bombardement de Stuttgart il avait été dirigé vers Hanovre avant de pouvoir regagner la France …. Je me rappelle également qu’il a été opéré de l’appendicite et soigné par les religieuses. Pouvez-vous me donner le ou les noms des camps et hôpital ci-dessus. Un grand merci à vous pour ces recherches .

  20. bonjour,
    j aimerais connaitre aussi le parcours de mon père, il est né le 26 janvier 1925 et a été pris a la sortie de son usine (Lefort dans les Ardennes) en remplacement de son père;il avait 18 ans, il est resté 28 mois en Allemagne; il travaillait dans une usine a Dresden et s est échappé dans une ferme en Tchécoslovaquie pendant le grand bombardement de Dresden .Il 93 ans mais parle très peu de cette période, j aimerais en savoir d avantage .Merci a qui pourrait m aider
    Isabelle Magin (sa fille )

  21. Mon père, Georges Rousselet, toujours vivant à ce jour, né le 02 janvier 1922, était déporté S.T.O. à Königsberg (Prusse Orientale) au camp d’Hammerveg. Il travaillait pour Todtenhöffer (réparation de pneus puis atelier de vélos). Délivré par les Russes, exode vers Gumbinnen (23/04 au 16/06/1945) puis camp de Kalinine (20/05 à fin juillet 1945)
    Auriez-vous des informations sur ce lieu et cette période ?
    Pour ma part, j’aurais des informations complémentaires (noms, prénom des personnes qu’il a côtoyées)
    A vous lire
    rousselethubert@gmail.com

  22. Bonjour,
    Mon grand-père Planson Francis (1922-2004) né à Nantes et arreté le 24/02/1922 à Nantes est parti pour le STO de St Christophe en Bazelle (36) pour Stettin-pölitz en 1943. Il travaillait auprès des usines Hydrierwerken à Pölitz du 06/03/1943 au 26/05/1944. Il a été gravement brulé en 1944 et est resté 9 mois à L’hopital.Ensuite, il a travaillé dans une ferme. Il est revenu en France en gare de Chateauroux après le 08/05/1943.
    J’aimerais en savoir plus. Merci à celui qui pourrait m’aider

  23. Je recherche des descendants ou parents de Louis Ougier, un Francais de Franche-Comte, ne en 1917 et mort en 1947. Il fit son service militaire a Vesouls en 1927. Ayant ete mobilise en 1939, fut fait prisonier et interne au frontstalag 142 a Bensancon en 1940. Il fut ensuite vraisemblablement envoye au STO en Allemagne 1942 (Heiligenbeil, Prusse de l’Est, puis Furth, pres de Nuremberg).

  24. Bonjour
    Mon père a également été déporté à Stettin et jevpossede aussi quelques photos

    • bonjour
      si vous voulez les partager, je serais heureux de les insérer sur le site
      bonne journée et merçi

      • Bonjour,
        j’ai l’impression qu’il y avait de nombreux déportés à Stettin. Savez-vous quelle était sa destination et son travail précisément?
        Mon père travaillait pour la poste et ne parlait pas de la période de la déportation ni des chantiers de jeunesse qui ont précédé . et j’ai aussi des photos si ça vous intéresse.

  25. Bonjour,
    Je fais également des recherches sur le parcours de mon grand-père qui a fait les chantiers de la jeunesse groupement 36 « Montcalm » et le STO en Autriche mais j’ignore le nom du camp, il est inscrit sur sa carte de déporté du travail « camp : lager II. »
    J’ai quelques documents et 1 photo où il est avec des camarades et je suis preneuse de tout info
    A vous lire

  26. Bonjour,
    comme la plupart d’entre vous, je suis à la recherche de renseignements sur le parcours de mon grand-père.
    Il est né en juillet 1925 et a été envoyé en STO. Je ne sais rien de plus. Ni la date de son départ, ni le lieu où il était. Je ne peux que faire des suppositions car il a rencontré ma grand-mère pendant cette période.
    Elle était Allemande et travaillait dans une boucherie (Bizarrement, mon grand-père allait souvent dans ce commerce !). Elle était originaire de Kaiserslautern. Savez-vous si il y avait un camp dans ce secteur ?
    Est-ce que les jeunes Allemands était aussi réquisitionnés ?
    Malheureusement, aucun des deux n’est encore là pour en parler. Mais je pense que cela a été une période difficile pour les deux. Ma grand-mère m’a un peux parlé de sa famille mais c’est surtout par ma mère et mon oncle que j’en sais un peu sur cette période de leur vie.
    Bon courage à tous dans vos recherches.
    Valérie Koska

  27. bonjour,
    je viens de découvrir avec un grand intérêt votre site, il me renseigne énormément sur cette période à laquelle mon père Jean LE QUERNEC né en septembre 1921 au Havre donc de la classe 1941 fut requis pour le STO de juillet 1943 à mai 1945.
    Seuls quelques renseignements me sont connus, en effet il est passé par Cologne et Essen en Allemagne.
    Quand il est revenu au Havre, il a été soigné par les américains car il était extrêmement faible.
    Il nous parlait pas de cette période qui a dû être très douloureuse pour lui.
    Merci pour toute personne ayant un renseignement complémentaire concernant le souvenir de mon père.
    Cordialement
    Lydie Le quernec

  28. Je suis fille de STO. Mon père Lucien SAULNIER a d’abord été déporté à Stettin, puis, pour raisons disciplinaires, je crois, il s’est retrouvé près de Kirkénès (extrême nord de la Norvège) de fin 43 à Début 45 dans des conditions aussi extrêmes que l’était Kirkénès. J’aimerai parler à des enfants de STO qui auraient pu aussi avoir été déportés près de cette ville qui est à 30km seulement de la frontière Russe, car je manque d’informations. Merci d’avance.

    PS: il serait temps de rappeler à ceux qui pensent que les STO étaient des « lâches » et des « dégonflés » que ces gars ont vécu l’enfer pendant leur déportation (et je choisis ce mot à dessein!) et beaucoup ont fini en camps de concentration car ils résistaient à leurs façon en détruisant du matériel dans les usines ou autres actions et comportements anti nazis.

  29. Bonjour
    Je découvre votre site avec bonheur
    Je suis fille de STO du camp de Vodka en Autriche.
    Je possède les courriers échangés entre mon père et ma mère à l’époque fiancés.
    Je suis entrain de les recopier tous sur mon ordinateur pour faciliter la lisibilité et les transmettre aux générations suivantes.

  30. Bonjour,
    J’effectue un travail mémoriel sur le parcours de mon père STO en Tchécoslovaquie de juin 1943 à septembre 1944 à AUSSIG (Usti Nad Labem en tchèque). Il s’appelait André TIGOULET, originaire de la Haute-Vienne, a travaillé pour les chemins de fers allemands (Deutsche Reichsbahn) dans le cadre du STO et je suis à la recherche de ses camarades d’infortune pour documenter cette période de sa vie, n’ayant hélas jamais pu en parler de vive voix avec lui.
    Merci d’avance à toute personne qui pourra m’apporter des renseignements sur le sujet.
    Cordialement
    B.Tigoulet

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