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1 le drapeau de l’Humanité : En 1941, le CICR décide de produire un film décrivant ses activités en faveur de millions de prisonniers de guerre ; du travail de fourmis de l’Agence Centrale de Recherches à Genève jusqu’à la visite de délégués CICR d’un stalag de soldats français détenus en Allemagne. Documentaire étonnant que ce « Drapeau de l’Humanité », ancêtre des « Panorama » que réalise depuis plusieurs années l’institution pour témoigner de ses activités. Documentaire aux sources imprécises réalisé par le cinéaste suisse Kurt Früh sur la base de divers matériels cinématographiques dont les plus suspects émanent de la propagande allemande. Documentaire déséquilibré par le fait que les Britanniques, notamment, ne participèrent pas à son élaboration, refusant de fournir des images de prisonniers allemands en leurs mains. Il est aussi un message subliminal étrange dans le générique de fin. Cachées dans la bande musicale, les premières notes de l’hymne américain. Il n’en reste pas moins que la saga du « Drapeau de l’Humanité » revêt une valeur historique incontestable. Décryptage avec Marina Meier, cheffe des archives filmées du CICR.

2 Le CICR et la deuxième guerre mondiale : Voici le 8ème numéro de la série vidéo, « Une histoire d’Humanité » produite et réalisée par la délégation du CICR en France à l’occasion des 150 ans de l’action humanitaire. Cet épisode, François Bugnion, historien et membre de l’Assemblée du CICR, décrit l’action du Comité pendant la deuxième guerre mondiale en faveur des millions de prisonniers de guerre. Cette action fut inégale : si le CICR est parvenu à rendre visite et à secourir les prisonniers de guerre alliés dans les stalag et oflag en Allemagne, les millions de PG soviétiques lui sont restés inaccessibles. Sur le front de l’Extrême-Orient, le CICR a eu peu accès aux détenus aux mains des Japonais. Cet épisode revient aussi sur une histoire mal connue de la deuxième guerre : l’affaire des menottes, ou comment Hitler faillit se retirer des Conventions de Genève … Réalisation : Lucile Marbeau & Frédéric Joli – Production : Délégation du CICR en France – octobre 2013

Activités de l’Agence Centrale des Prisonniers de Guerre pendant la Seconde guerre mondiale

Un an avant le début de la Seconde guerre mondiale, le CICR  avait créé une «Commission des œuvres de guerre» pour préparer la reprise des activités de l’Agence sur une grande échelle. 
Cette Commission se réunira 25 fois avant le début de la guerre et, en janvier 1939, 30 « vétérans » de l’Agence de 1914/1918 se portent volontaires pour reprendre du service en cas de besoin.

L’Agence Centrale des Prisonniers de guerre est ouverte officiellement en septembre 1939, suite à l’invasion de la Pologne. 

Dès les premières semaines de la guerre, 600 000 soldats polonais sont capturés par les troupes allemandes et soviétiques, ce qui laisse présager l’ampleur des tâches auxquelles l’Agence va être confrontée par la suite.

A l’ouverture des hostilités, le CICR informe officiellement les belligérants de l’existence de l’Agence et leur rappelle que, aux termes de la Convention de Genève de 1929, il est de leur devoir d’ouvrir des Bureaux nationaux de Renseignements.

Ces BNR sont chargés des relations avec l’Agence au sujet des prisonniers, ainsi que de l’échange de listes nominatives, messages et nouvelles. Face à une situation sans précédent, le CICR dote alors l’Agence centrale des Prisonniers de Guerre des moyens de communication et d’un matériel de bureau les plus modernes: machines à photocopier, calculatrices pour les statistiques, etc., soit un support technique pour l’époque aussi révolutionnaire que le sont les ordinateurs actuels.
En outre, les cartes parvenaient parfois à Genève avec des semaines d’avance sur les listes officielles, ce qui permettait d’informer plus rapidement les familles du sort des leurs.
 en outre, elle dispose de la franchise postale
Durant le conflit, le CICR étend également ses activités au-delà des frontières helvétiques par ses délégués qui effectueront environ 1 1 000 visites à des camps de prisonniers de guerre et détenus civils. L’Agence ne recevra malheureusement que peu d’informations du front oriental, car non seulement l’Union soviétique n’a pas signé la Convention de Genève de 1929 sur le traitement des prisonniers de guerre, mais encore ce pays et l’Allemagne se sont refusés à signer un accord réciproque sur l’échange de renseignements concernant ces prisonniers de guerre.

Comme les belligérants refuseront d’étendre aux civils en territoires occupés les bénéfices de la Convention de 1929, les détenus des camps de concentration nazis seront ainsi dépourvus de protection.

Cependant, l’Agence centrale des Prisonniers de guerre déploiera d’énormes efforts pour réconforter moralement, par la nature même de ses activités, les millions d’autres victimes de la Seconde guerre mondiale

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Des outils précieux pour les 4000 employés de l’Agence qui, tant à Genève que dans d’autres parties de la Suisse, s’efforcent d’établir des recoupements entre les informations brèves et sèches provenant des champs de bataille et des camps de prisonniers d’une part, et les lettres émouvantes et désespérées des mères, épouses et enfants d’autre part.

déclaration de décès par la croix rouge internationale de Genève

déclaration de décès par la croix rouge internationale de Genève

L’Agence et ses 26 services traiteront parfois jusqu’à 100 000 communications par jour.

demande de renseignement concernant la santé d'un officier prisonnier

demande de renseignement concernant la santé d’un officier prisonnier

A partir de 1940, l’Agence avait réussi à persuader presque tous les belligérants d’utiliser les cartes de capture Croix-Rouge. 

avis de capture 1940 carte croix rouge française

avis de capture 1940 carte croix rouge française

 

avis de capture 1940 carte croix rouge française

avis de capture 1940 carte croix rouge française

 

Ces dernières ne remplacèrent pas les listes officielles envoyées par les puissances détentrices mais, remplies par les prisonniers eux-mêmes, elles contenaient moins d’erreurs que les listes rédigées par des personnes ignorant la langue des prisonniers.

En outre, les cartes parvenaient parfois à Genève avec des semaines d’avance sur les listes officielles, ce qui permettait d’informer plus rapidement les familles du sort des leurs.
demande de renseignements 1940 carte croix-rouge internationale Genève

demande de renseignements 1940 carte croix-rouge internationale Genève

demande de renseignements 1940 carte croix rouge internationale Genève

demande de renseignements 1940 carte croix rouge internationale Genève

 

croix rouge renseignements prisonniers de guerre

croix rouge renseignements prisonniers de guerre

 

croix rouge renseignements prisonniers de guerre

croix rouge renseignements prisonniers de guerre

 

 

Le CICR doit aussi annoncer le décès de prisonniers de guerre dans le lieu de détention.

Durant le conflit, le CICR étend également ses activités au-delà des frontières helvétiques par ses délégués qui effectueront environ 1 1 000 visites à des camps de prisonniers de guerre et détenus civils. L’Agence ne recevra malheureusement que peu d’informations du front oriental, car non seulement l’Union soviétique n’a pas signé la Convention de Genève de 1929 sur le traitement des prisonniers de guerre, mais encore ce pays et l’Allemagne se sont refusés à signer un accord réciproque sur l’échange de renseignements concernant ces prisonniers de guerre.
Comme les belligérants refuseront d’étendre aux civils en territoires occupés les bénéfices de la Convention de 1929, les détenus des camps de concentration nazis seront ainsi dépourvus de protection.
Cependant, l‘Agence centrale des Prisonniers de guerre déploiera d’énormes efforts pour réconforter moralement, par la nature même de ses activités, les millions d’autres victimes de la Seconde guerre mondiale.
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 en outre, elle dispose de la franchise postale
1942 FRANCHISE POSTALE pour le service des PG

1942 FRANCHISE POSTALE pour le service des PG

En effet :
  • 36 millions de colis Croix-Rouge seront distribués
demande de colis à la croix rouge pour un prisonnier

demande de colis à la croix rouge pour un prisonnier

  • 120 millions de lettres seront échangées entre les prisonniers de guerre et leur familles
    • 23 millions  de lettres entre les civils des divers pays en guerre.
Une estimation chiffre à 700 000 le nombre de personnes qui, pour la seule Europe, ont été réunies avec leur famille grâce à l’Agence.
Ce n’est qu’après la reddition de l’Allemagne que le Haut Commandement des forces alliées en Europe se rend compte des véritables dimensions de la tragédie: des millions d’être humains, exterminés, déportés, évacués, réfugiés ou séparés de leurs familles.
Alors est fondé, sous l’égide des Nations-Unies:

Le Service International de Recherches (SIR), installé à Arolsen en Allemagne.

Géré tout d’abord par une officine des Nations-Unies, puis par l’Organisation internationale des réfugiés, la direction du SIR sera finalement confiée, en 1955, au Comité international de la Croix-Rouge.

La mission du SIR consiste à «rassembler, classer, conserver et exploiter les documents relatifs aux Allemands et non-Allemands ayant été détenus dans des camps de concentration ou de travail national-socialistes, ou aux non-Allemands déplacés du fait de la Seconde Guerre mondiale».

On estime aujourd’hui que l’Agence centrale de Recherches devra encore recourir aux millions de documents d’archives de la deuxième guerre mondiale jusqu’en l’an 2000 au moins.

De nos jours, 25% du travail de l’Agence est encore consacré à des cas engendrés par ce long conflit et ses suites.  (sources cicr)

Le Centre National d’Information sur les Prisonniers de Guerre 

Le Centre National d’Information sur les Prisonniers de Guerre 
60 rue des Francs-Bourgeois, Paris
a édité les listes officielles des prisonniers de guerre entre le 12 août 1940 et le 15 juin 1941 d´après les renseignements fournis par l´Autorité Militaire allemande.
Cent Listes paraissent, fournissant en moyenne des données sur 10 000 prisonniers chacune, rédigées à partir d’éléments délivrés par les autorités allemandes.
centre national d'information sur les prisonniers de guerre 1941

centre national d’information sur les prisonniers de guerre 1941

La répartition des prisonniers est:

  • d‘un tiers pour les Front stalags (camps en France)
  • de deux tiers pour les autres :
  1. Stalags (camps de base pour la troupe en Allemagne),
  2. Oflags (camps pour officiers en Allemagne)
  3. Kommandos (camps de travail).

 

centre national d'information sur les prisonniers de guerre 1941

centre national d’information sur les prisonniers de guerre 1941

Chaque fiche comprend :
le nom le prénom
lieu d’internement

Le service de recensement des prisonniers de guerre

 

 

Le Service des Prisonniers de Guerre

Ambassadeur  Scapini

Scapini ambassadeur auprès des prisonniers de guerre en Allemagne

Scapini ambassadeur auprès des prisonniers de guerre en Allemagne

services diplomatiques auprès des autorités allemandes pour les prisonniers de guerre français

ambassadeur scapini services diplomatiques des prisonniers de guerre

ambassadeur scapini services diplomatiques des prisonniers de guerre

 

prisonniers de guerre  paris

 

 

prisonniers de guerre paris

prisonniers de guerre paris

 

paris centralisateur

 

prisonniers de guerre paris centralisateur 25 04 1940

prisonniers de guerre paris centralisateur 25 04 1940

comité central d assistance aux prisonniers de guerre

Croix Rouge Française comité central aux prisonniers de guerre en captivité 1944

Croix Rouge Française comité central aux prisonniers de guerre en captivité 1944

 

comité central des des prisonniers de guerre note-de préfecture Finistère

comité central des prisonniers de guerre note de la préfecture du Finistère

 

commissariat général aux prisonniers de guerre rapatriés 1942

commissariat général aux prisonniers de guerre rapatriés et à leurs familles 1942

commissariat général aux prisonniers de guerre rapatriés et à leurs familles 1942

direction du service des prisonniers de guerre

MINISTERE DE LA GUERRE DIRECTION DES PRISONNIERS DE GUERRE

MINISTÈRE DE LA GUERRE DIRECTION DES PRISONNIERS DE GUERRE

trait d union militaire œuvres de secours pour les prisonniers de guerre

organisme d'aide aux prisonniers de guerre trait d'union militaire

organisme d’aide aux prisonniers de guerre trait d’union militaire

Centre Jean Mermoz

 

organisme mis en place pour venir en aide aux prisonniers de guerre et crée par le parti du Colonel De La Rocque

organisme d'aide aux prisonniers de guerre centre Jean Mermoz colonel de la rocque

organisme d’aide aux prisonniers de guerre centre Jean Mermoz colonel de la rocque

 

le colonel de la Rocque écrit à un prisonnier de guerre en captivité

 

le colonel de la Rocque écrit à un prisonnier de guerre en captivité

 

La Famille du prisonnier

Comité d’aide aux prisonniers de guerre (section Nantes)

comité d'aide aux prisonniers de guerre section de nantes

comité d’aide aux prisonniers de guerre section de nantes

 

bons de cantine gratuits pour enfants de prisonnier de guerre

bons de cantine gratuits pour enfants de prisonnier de guerre

 comité d’assistance aux prisonniers de guerre secteur de Jonzac

Le Secours National

secours national section Gironde 1941

secours national section Gironde 1941

le refrain du : chant du Secours National  
« Lorsque Pétain fit le don de sa personne,
Il nous fallait aussi en mettre un coup
Et devant le drapeau qui frissonne
Près de lui, nous venons tous, nous venons tous !
Car la Patrie a besoin de courage
Pour se refaire et forcer le destin
C’est Pétain qui est notre meilleur gage
Vive Pétain ! Vive Pétain ! ! Vive Pétain!!! »
vignette avec tp secours national 1941

vignette avec tp secours national 194

Le Secours National, est créé en 1914 pour recueillir des vêtements destinés aux soldats du front, et est « reconstitué » par le ministère Daladier le 19 octobre 1939.
Le 23 juillet 1940,  le produit de la liquidation des biens des Français déchus de leur nationalité, lui est octroyé.
Le 4 octobre 1940, il est placé sous la haute autorité du maréchal Pétain. cet organisme a  le monopole des appels publics à la générosité et des subventions de l’état ou des collectivités publiques.
En octobre 1940, Le produit de la loterie nationale lui est attribué .
C’est au profit du Secours national, pour lutter contre la misère, que sont vendus  les portraits du Maréchal.
A Paris, se trouve le bureau central d’expéditions qui dirige vers la province des milliers d’albums.
le bilan du secours national

le bilan du secours national

l’hiver s’annonce très rigoureux et beaucoup de français vont en profiter..
Enfin, il a la faculté de demander la dissolution des œuvres sociales au Conseil d’État. Cette disposition prévue à l’article 4 de la loi du 4 octobre 1940 est à l’origine de la dissolution de l’Armée du salut.
les effectifs passent de quelques centaines en 1939 à 5 000 en 1941  à 11 700 au 1er janvier 1944 (et 15 000 en 1945).
secours national entrepôt-de paris 1942

secours national entrepôt-de paris 1942

 

Le Secours national emploie plus de 1 000 personnes rien qu’à son siège parisien en mai 1943.
Le nombre de bénévoles est sensiblement plus élevé :
                                                   42 962 selon un bilan d’activité d’avril 1943.
 Le Secours national organise aussi à partir de 1941 des goûters des mères, sert des repas chauds, donne aux possesseurs de jardins d’ouvriers, matériel, semences, etc, toujours avec une propagande axée sur le père de la patrie:       Pétain
secours national commissariat général hôtel de la paix Royat 1942

secours national commissariat général hôtel de la paix Royat 1942

secours national commissariat général hôtel de la paix Royat 1942

secours national commissariat général hôtel de la paix Royat 1942

 

1943 secours national discours aux écoliers et écolières du Maréchal

 

1943 secours national discours aux écoliers et écolières du Maréchal

 

En 1944, il devient l’entraide française. L’Entraide Française d’Hiver (la structure parisienne du Secours national) se voit affecter pour le ravitaillement de la région parisienne des zones de production où elle s’adresse directement aux acheteurs en gros.

comité national centre d'entraide paris 1945

comité national centre d’entraide paris 1945

la Croix Rouge Française

carte FM illustration infirmière croix rouge

carte FM illustration infirmière croix rouge

 

 

 

association des  dames françaises

association des dames françaises 11 01 1940

association des dames françaises 11 01 1940

 

association des dames françaises 11 01 1940

association des dames françaises 11 01 1940

 union des femmes de france

union des femmes de france

union des femmes de France

 

union des femmes de France 29 12 1939

union des femmes de France 29 12 1939

 

croix rouge française union des femmes de france

croix rouge française union des femmes de France

 

union des Femmes de France 1940

 

la croix rouge française

la croix rouge française

 

la croix rouge française

la croix rouge française

 

réponse à demande de renseignements 1940 carte croix rouge Française vichy

réponse à demande de renseignements 1940 carte croix rouge Française vichy

 

prisonniers de guerre croix rouge

prisonniers de guerre croix rouge

 

Croix Rouge Française avis de capture Caserne des Uhlans Sarrebourg

Croix Rouge Française avis de capture Caserne des Uhlans Sarrebourg

 

Croix Rouge Française carte d'évacué sanitaire camp de Ravensbrück

Croix Rouge Française carte d’évacué sanitaire camp de Ravensbrück

 

les Croix Rouges Étrangères

croix rouge allemande

 

siège de la croix rouge allemande à Paris

siège de la croix rouge allemande à Paris

 

Croix Rouge Allemande Section Alsace

Croix Rouge Allemande Section Alsace

 

Croix Rouge Allemande interné civil grande caserne St Denis Paris

Croix Rouge Allemande interné civil grande caserne St Denis Paris

 

croix rouge yougoslave

croix rouge yougoslave demande de nouvelles de famille

croix rouge yougoslave demande de nouvelles de famille

 

croix rouge yougoslave

croix rouge yougoslave

croix rouge belge

 

Croix-Rouge Belge prisonnier de guerre belge en captivité stalag XI B

Croix-Rouge Belge prisonnier de guerre belge en captivité stalag XI B

 

croix rouge hollandaise

 

avis capture prisonnier de guerre 1940

avis capture prisonnier de guerre 1940

 

….croix rouge hollandaise,message d’un prisonnier français….

a suivre…..

 

croix rouge yougoslave

3 réflexions au sujet de « Les organismes de secours pour les prisonniers de guerre »

  1. Cher Monsieur ou Madame,
    Mon français est pas très bon. Voilà pourquoi je travaille avec Google Translator. Mon père était un prisonnier de guerre un soldat dans le camp de Ksar Souk de 1944-1947. Mon père est encore en vie et 97 ans. Cherche des photos et des documents du camp de Ksar Souk. Pouvez-vous s’il vous plaît aidez-moi?
    Mes propres recherches sur Internet ont été infructueuses. Je ne ai pas la possibilité d’atteindre d’autres sources.
    A propos de votre réponse, je serais très heureux.

    Sehr geehrte Damen und Herren,
    mein französisch ist nicht sehr gut. Deshalb arbeite ich mit Google-Translator. Mein Vater war Kriegsgefangener Soldat im Lager Ksar Es Souk von 1944-1947. Mein Vater lebt noch und ist 97 Jahre alt. Ich suche Bilder und Dokumente aus dem Lager Ksar Es Souk. Können Sie mir dabei bitte helfen?
    Meine eigenen Recherchen im Internet waren nicht erfolgreich. Ich verfüge nicht über die Möglichkeit, andere Quellen zu erreichen.
    Über Ihre Antwort würde ich mich sehr freuen.

    • bonsoir
      les renseignements concernant ce camp sont tres rares
      je dois avoir un dossier d’un soldat de l’armée de rommel,qui a été interné, dans ce camp, évadé!!!, et disparu dans le desert…
      ce camp a servi, avant, d’internement pour des personnes politiques et subversives ou le régime était digne d’un camp de concentration par le travail
      c’est tout ceque je possede comme renseignement
      vraiment désolé
      bonne soirée

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