Environ 1.580.000 prisonniers français furent transférés en Allemagne, dans les 28 camps pour officiers (Oflags) et 69 camps pour hommes de troupe (Stalags) des dix régions militaires (Wehrkreise).
Ils représentent environ 10% de la population française masculine adulte de l’époque ce qui porta durablement préjudice à la production agricole et industrielle française.
95% des prisonniers de guerre furent immédiatement transférés des Stalags dans 82.000 commandos de travail dans l´industrie, l´agriculture ou l´artisanat ayant eux-mêmes souvent leur propre camp, de taille variable, ou furent affectés à des commandos mobiles.
A ce titre,ils perçoivent un salaire…
L’intérêt d’avoir des prisonniers de guerre est surtout d’ordre économique,un prisonnier non productif est une charge financière, d’où la décision, sous couvert d’humanité, de rapatrier ces hommes..
demande de libération d’un prisonnier
Bau-und-Arbeits bataillons (B.A.B), spécialisés dans différents corps de métier :
- maçons
- couvreurs/charpentiers (souvent, dans le même B.A.B que les couvreurs)
- vitriers
Le nombre des prisonniers de guerre français détenus dans des camps allemands diminua au fur et à mesure pour atteindre 940.000 fin 1944.
Ce chiffre correspond à 70.000 évasions réussies, 90.747 remises en liberté dans le cadre de la « Relève » et 324.000 autres remises en liberté pour des raisons diverses.
21.000 prisonniers de guerre français trouvèrent la mort ou sont portés disparus jusqu´en 1944.
La dernière année de guerre coûta la vie à 37.000 prisonniers supplémentaires.
Lorsque l´on décida en 1942 d´emmener les prisonniers de guerre soviétiques survivants en Allemagne et de les forcer au travail au lieu de les laisser mourir de faim dans les Frontstalags, (comme tel avait été le sort de 2 millions d´entre eux auparavant), la part relative des Français parmi les prisonniers de guerre retenus en Allemagne diminua.
Avant janvier 1942, les Français avaient représenté presque 70% des prisonniers de guerre en Allemagne.
Les deux tiers environ des prisonniers de guerre français furent retenus cinq années entières en captivité en Allemagne.
Il faut attendre février 1941 pour voir affichés dans les baraquements, suite aux remarques des délégués de la Croix-Rouge et de la mission Scapini, les termes de la convention de Genève en date du 11 juillet 1929 relative à l’amélioration du sort des blessés et malades dans les armées en campagne. Les camps changeront d’aspect, on y trouvera bientôt une organisation assez complexe, théâtres, bibliothèques, lieux de culte, « agences de voyages » (pour les évasions), formations politiques, clubs sportifs, officines de marché noir,…
rien n’y manquera… sauf la liberté,bien sur…..
le camp
L’image classique d’un stalag, un immense camp où s’alignent « Des baraques cinq à six fois plus longues que larges, froides l’hiver, torrides l’été, mal protégées contre les pluies.
En général un assez grand espace s’étend entre l’enceinte et les baraques ; c’est l’endroit où, pendant le jour, les P.D.G., peuvent vaquer.
Entre les baraques se trouvent les latrines constituées, selon le principe des « feuillées militaires », d’une longue et profonde fosse, le long de laquelle court une barre de bois qui sert de siège.
Grâce à la poudre désinfectante répandue dans ces lieux, l’air ambiant est peu pollué.
Au centre du camp s’élèvent les cuisines, installations très sommaires car elles ne comportent que de larges cuves chauffées par le dessous ; une cantine y est généralement accolée, elle consiste en un comptoir où les P.D.G. peuvent, en principe, acheter des pacotilles ; mais la cantine est, la plupart du temps, dépourvue de tout.
On y pénètre par les deux extrémités.
Au centre, le lavabo collectif et la buanderie.
la vie au camp
la vie du camp est rythmée par les appels sur la grande place du camp, et le départ des prisonniers de guerre pour le travail
Les baraques s’alignent des deux côtés d’une large allée où il est interdit aux prisonniers de guerre (P.D.G.), de circuler et le long de laquelle des mâts portent des haut-parleurs. Les baraques sont souvent groupées par quatre et constituent un « block »
Des clôtures de fil barbelé séparent les blocks les uns des autres ; les Allemands s’efforcent de morceler la masse des P.D.G.
Une baraque isolée sert de local disciplinaire en plus de la prison, proprement dite, qui se trouve dans la zone administrative .
Celle-ci est située à l’entrée du camp ; elle est occupée par diverses baraques réservées aux services d’effectifs « kartel », aux services comptables, à l’infirmerie, aux magasins d’habillement et de matériel, etc.
D’autres servent de logement aux soldats Allemands, et à leurs officiers
mais souvent la garde du camp a ses casernements à l’extérieur.
Les portes du camp sont faites de pièces de bois massives, entre lesquelles des fils de fer barbelés sont tendus. Les constructeurs leur ont donner volontairement un aspect rébarbatif et archaïque, mais très dissuasif.
les baraques
Chacune des baraques est occupée par deux cents hommes environ qui, lorsque le soir tombe, vivent, tant la place est mesurée, dans une des couchettes à deux ou trois étages.
Une telle concentration est possible par le système des châlits à trois niveaux, permettant l’empilement des P.D.G. Les couchettes superposées s’élèvent à environ un mètre l’une au-dessus de l’autre ; celle du haut mettant l’occupant à portée du plafond de la baraque ; un homme de haute stature ne peut se dresser sur son séant, sauf s’il est logé au dernier niveau. Lorsqu’ils sont debout, les occupants de la baraque ne peuvent se tenir tous ensemble dans l’allée centrale qui court entre les deux rangées de couchettes superposées et où se trouvent également une table, des bancs et un poêle. Les appels doivent avoir lieu à l’extérieur, quel que soit le temps et ce, impérativement.
Une des caractéristiques de la vie des P.D.G. dans les camps consiste dans ces sorties et ces entrées susceptibles; le P.D.G., retrouve, chaque Fois, avec plaisir, la couchette d’où les innombrables appels, les rapports, les formalités administratives le chassent sans cesse. Les couchettes sont dépourvues de paillasse, l’occupant repose sur les lattes amovibles constituant le fond de son lit ; l’absence de paillasse occasionne des douleurs aux reins et aux côtes.
Il dispose d’une couverture ; la paillasse, lorsque le P.D.G., en a reçu une, consiste en une enveloppe de fibre de bois ; celle-ci, sous le poids du corps, ne tarde pas à se réduire en sciure qui passe par les mailles de l’enveloppe et par les interstices des lattes de la couchette et tombe sur le visage du dormeur de la Couchette inférieure.
Aussi, les couchettes supérieures sont-elles, particulièrement, les plus convoitées ; d’autant qu’elles ménagent un plus large espace en hauteur. L’hiver sous le plafond, l’air est plus chaud qu’au sol ; par contre, l’occupant de la couchette supérieure doit se livrer à des exercices éreintants, chaque fois qu’il veut en descendre ou y reprendre sa place.
la cuisine
« Au camp surtout – car dans les komandos, le travail ne laissait pas un tel loisir – ce fut une occupation quotidienne et cela devint un spectacle habituel de voir les « popotes » se grouper autour du « fourneau » sur lequel « mijotait en petit plat », le contenu mis en commun des gamelles, des colis, des achats en ville ou à la cantine.
Préparation et cuisine pouvaient se faire l’hiver, dans les baraques, autour du poêle. Mais ceux-ci devaient être remplacés, la plupart du temps, par des fourneaux de fortune.
Une des inventions les plus typiques de l’esprit bricoleur français, dans les camps, fut une espèce de foyer portatif, fait de bric et de broc, capable de fournir assez de chaleur pour cuire les aliments en utilisant le peu de combustible dont disposaient les prisonniers, en particulier du papier.
Ces sortes d’instruments furent connus un peu partout sous le nom de « choubinettes » ou « schubinette » (appellation plus « chleue) »
Des fouilles ont lieu, afin de prévenir des projets d’évasion…
Le camp est entouré de barbelés, dominé par les miradors, surveillé par des patrouilles.
Chaque camp couvre plusieurs hectares ; son enceinte est faite de deux clôtures de fils de fer barbelés entrecroisés d’environ quatre mètres de haut entre Lesquelles du barbelé est jeté pêle-mêle, de manière à former un Enchevêtrement infranchissable.
Des miradors de bois dont la plate-forme couverte se trouve à environ huit mètres du sol se dressent, à égale distance les uns des autres, le long de l’enceinte.
Les P.D.G., ne peuvent s’approcher de celle-ci .
Un ou deux fils de fer barbelés tendus sur des piquets à mi-hauteur d’homme, Ménage le long de l’enceinte même, une bande de terrain d’une largeur de deux à trois mètres où il est interdit de pénétrer.
Les sentinelles placées dans les miradors tirent, sans sommation, sur ceux qui enfreignent cet ordre.
Des soldats allemands, accompagnés de molosses, effectuent constamment des rondes, à l’extérieur du camp, afin de déceler des brèches éventuelles.
La nuit au moindre bruit suspect, les sentinelles, du haut de leurs miradors, balaient le camp du faisceau de leur projecteur.
Des gardes, tenant des chiens en laisse, arpentent les allées qui séparent les baraques .
au loin, la liberté..
la correspondance
les papiers administratifs sont tous visés , soit par le camp
mais aussi par l’homme de confiance
enfin le retour au pays, accueilli par les siens…
Suite du contenu en cours de création
sur deux photos, il faudrait rectifier la légende : la place d’appel du VIII C est en fait un hommage au Maréchal. Voilà la bonne légende :
Le 1er mai 1942, jour de la Saint Philippe, fête du Maréchal.
l’autorisation spéciale du SS Becker et le SS Wieland à été donnée pour cette cérémonie qui fut filmé par les Nazis pour leur propagande.
L’aquarelle est de Hanri Beauvois et représente la baraque 38 où furent enfermés des prisonniers Russes
Je suis un peu déçue que vous n’ayez pas mis sur votre site, comme vous me l’aviez annoncé, les photos et documents de mon père que je vous ai par 2 fois envoyés. Je voulais vous scanner aussi quelques cartes de mon père écrites au stalag, mais je me demande si c’est bien utile.
Cordialement
Nicole Jacques-Lefèvre
bonjour
cela va être fait, mais je travaille, aussi
ne vous inquiétez pas, je m’en occupe
bonne soirée
bonjour
les photos et plaque de votre père sont en ligne..
merci pour tout
a+
Bonjour,mon grand-père était prisonnier au stalag XIII B de 1940 jusqu’à 1943, stalag XIII B de Weiden – oberpfalz, à environ 100 km de Nuremberg( stalag XIII B Arbeitskommando 3266), Il a été fait prisonnier à Donon( vosges) , je possède juste une photo ou il y a plusieurs autres prisonniers., Marilène
bonjour
je suis intéressé par votre photo
cela permettra qu’il ne tombe dans l’oubli,et peut etre des internautes reconnaitrons un parent dans cette photo de groupe
ne pas oublier de mentionner nom et prénom de votre parent afin que je le mentionne dans l’article ainsi que le votre comme contributeur
merci d’avance
Mon grand père paternel a été prisonnier au Stalag VIIIA. Pendant son séjour, comme il était musicien il a fait partie d’orchestre de prisonniers. Je dispose de plusieurs photos de ces orchestres.
bonjour
je suis tout à fait intéressé par ces photos
cela va permettre de compléter et enrichir le sujet artistique au stalag VIII A
ne pas oublier de mentionner nom et prénom de votre parent afin que je le mentionne dans l’article ainsi que le votre comme contributeur
merci d’avance
Bonjour
Mon père a été prisonnier durant toute la durée du conflit (71ème RIA).
Sur la liste des PG (66) il est précisé stalag 2A, mais je n’ai aucune information sur lui et sur sa vie de PG, ni sur son retour en France?
Pouvez-vous me guider pour avoir quelques informations sur lui. J’ai perdu mon père j’avais 15 ans (en 1970) et je n’ai donc pas pu parler avec lui de ce passé difficile.
note ; il a été ouvrier agricole pendant sa détention, il s’appelait Bernard CHAPDELAINE était né le 21 mai 1911 à Garancières (78),
Merci d’avance pour tout ce que vous pourriez m’apprendre
Très cordialement
Alain Chapdelaine
bonjour,
mon père: William alias Wilhelm Lipson né en 1914, Prisonnier de Guerre Français , interné au Stalag IIA en Allemagne (qq 60kms au Nord de Berlin), suite à la débâcle de mai- juin 1940
Il fut un des premiers PG évadés, en septembre/octobre 1940 , les évasions en nombre n’ ayant débuté qu’ en 1941. Mon père était Strasbourgeois, mort très vite après la guerre- (c’ est la raison pour laquelle nous n’ avons eu que quelques récit approximatifs)-
Il fut aidé dans son évasion:
1°car il parlait l’ allemand et s’ était fourni des vêtements civils
2°la légende raconte qu’ il a réussi à rejoindre Berlin, où des « officiels » strasbourgeois complices lui confièrent une valise diplomatique. Cette valise lui a permis de passer la frontière germano- hongroise et de poursuivre son périple par le détroit de Bosphore jusqu’ au Liban et retour en France libre, par la Méditerranée
Auriez vous par hasard eu vent d’ Alsaciens, résistants au 3ème Reich , ayant sévi à Berlin même, en 1940. Quels Strasbourgeois étaient à Berlin en 1940?
D.Kahn
je cherche plein de renseignements sur mon père prisonnier au IVC Brüx et autre faisant partie de la troupe théâtrale et musique, je suis sur le site stalag IVC de Loic mais je cherche plus, comme la vie aux établissements thermale de teplitz ………
J’ai pu grâce a internet retrouver des choses mais on en a jamais assez…… merci
KG DEMOY René, 55464/IV B Brüx, soldat/37 RI, imprimeur, St Denis ;
Bonjour, je suis à la recherche de renseignements sur mon grand père paternel Étienne Bellami prisonnier au stalag XXB du 17.08.1940 au 30.05.45 et de mon grand père maternel Jean Jenny prisonnier au stalag XIIIA du 19.06.40 au 02.10.41 libéré DU (pour cause de maladie). Étienne Bellami connaissait l’abbé Boutry homme de confiance qu’il avait en haute estime et l’abbé Jean Marie. Peut-être avez-vous des parents ou grands parents ayant vécu dans les mêmes stalags aux mêmes dates ?
Bonjour je recherche des informations et photos sur les prisonnier du stalag 1B y a était du 27/06/40 et libéré le 14/06/45 ( BLAISE RENÉ )
Merci a tout ceux ou celles qui répondront
Bonjour,
Le stalag 1B se trouvait à Hohenstein (actuellement Olsztynek en Pologne).
Mon grand-père Primo del ROSSO y est passé, comme 650.000 autres personnes, selon ce que j’ai pu en lire !
Bien qu’affecté à ce stalag, il est décédé le 19 novembre 1943 à Vierzighufen (actuellement Wiersbica en Pologne), soit à 300 km de là !
Je recherche tous documents sur ce stalag et sur Wiersbica (Vierzighufen).
Slts.
Thierry del ROSSO
Bonjour, Vos informations sur’ le stalag 1 m’intéressent énormément. En effet, mon cousin et parrain, y était prisonnier. Malheureusement à son retour à Nantes, il a brûlé tous ses papiers militaires, et les recherches sont très difficiles. Il s’appelait RAVELEAU Armand, né le 24.09.1915 à Nantes.Si vous aviez le moindre détail sur ce sinistre camp, je vous remercie de bien vouloir m’en informer.
Merci.
Mon père Jack TOURLIER a été prisonnier au STALAG XII-F, il avait lors de sa détention autour du cou une
plaque n°4 076 rectangulaire attachée par une petite corde qui devait être autour d son cou ainsi qu’une autre plaque ovale n° 4 426 .
Avez-vous des renseignements sur lui?????, je pense qu’il s’était évadé plusieurs foi.
Merci,
Cordialement.
Bonjour,
Je recherche toute Information sur la captivite de mon grand pere Raymond RENOUT prisonnier de juin 40 a mai 45, enregistre au Stalag X B de Sandbostel Numero de prisonnier 28395 nord de l Allemagne mais peut-etre transfere vers la region de Lübeck pour y travailler dans des fermes. Existe t-il des listes de prisonniers par Stalag ? Par avance merci si vous trouvez quelquechose.
Bonjour,
Mon père Auguste HABRIOUX a été interné au stalag XA à Schleswig Holstein sous le n° 45406. Il a été rapatrié le 27 mai 1945. Il a travaillé dans les fermes. Son arbeitskommando était le 274. Est-ce que quelqu’un aurait des photos de ce camp
et des documents concernant la vie dans ce stalag ?
Par avance, je vous en remercie.
Bonjour,
Mon père Yves Le Fur a été fait prisonnier à Laignes (Aube) le 17/06/1940. Il a été envoyé au Stalag IV B à Mühlberg/Elbe matricule 63208 et a ensuite travaillé dans une ferme. Rapatrié par les alliés le 14/05/1945. Je ne connais rien de sa captivité aussi j’aimerai avoir des photos de lui avec ses compagnons prisonniers.
D’avance merci.
Existe-t’il une liste des prisonniers du Stalag IV B ?
bonsoir
Sur le site stalag IV B vous trouverez facilement les listes
bonsoir
R M
Bonjour,
nous aimerions connaître, comment retrouver traces de notre oncle M.Louis GLEIZES ( Boucher de profession) né le 08 mai 1914 à LA SALVETAT sur AGOÛT, soldat dans un bataillon de chasseurs-alpins et prisonnier de guerre en Allemagne jusqu’à la libération de 1945.
Il dépendait du Stalag 6b 11442 à Uerdigen ( à côté de Dusseldorf) et travaillait probablement dans un abattoir ou boucherie. Merci d’avance. Sa soeur de 92 ans. Marie Louise GLEIZES, veuve ARMESTO
Email: de.camporel@wanadoo.fr
Mon père a été fait prisonnier à Oflag II A en 1940 , il était alors Lieutenant ,et il est décédé lors du bombardement du Ofglag IIA par les Russe en 1945 . J’ai fait des recherches sur le site Belgianfree et d’autres sites. Je remarque qu’il y a très pu d’information sur les prisonniers , et je ne trouve aucune information sur ce bombardement par les Russes .J’aimerais trouver des informations sur mon père t sa vie ans ce oflag .
J’ai 82 ans , ce n’est pas facile de chercher sur internet , parce que de nombreux sites y font du commerce pour que l’on achète tel ou tel livre de guerre comme celui de »Meurtre dans un Oflag » justement écrit par un prisonnier de Oflag II A . J’ai lu ce livre , mais il ne m’apporte aucune information réelle sur mon père !
Et je ne suis pas intéresser à acheter des livres inutiles pour ma recherche de mon père à Oflag II A
bonjour:, mon père BAUDRY PIERRE Né aux Loges 76 , en 1913. Il à été fait prisonnier à St valéry en caux avec tout son régiment ! ils sont allés à pied à Béthune ,pour partir en train vers l’allemagne ! il s’est retrouvé prisonnier 4 ans , dans une ferme agricole à APOLDA à coté de WEIMAR…..Avec lui un ami de Gonfreville l’orcher ,qui a fait un voyage à APOLDA avec sa femme dans les années 50 ,pour voir la ferme de leur captivité .Ils ont été super bien reçu avec article dans le journal etc…….
Bonjour,
Mon beau père Gustave Georges Boulanger est né le 31 Aout 1914. Lors de la guerre 39-45 il fut capturé à Hagueneau le 2 juillet 1940 et à séjourné au camp Stalag VA jusqu’en 1945. Il était affecté au 22eme RIF.
J’aimerais connaître le nom de la ferme ou il travaillait. Savez vous où je dois chercher ? Merci par avance de votre réponse. Cordialement
Mj boulanger
carcans le 07 01 2018 mon papa a ete prisonnier au stalag xxb komando 27 il travaillait dans une usine de bus a elbing qui aurait des renseignements de ce camp car je voudrais y aller je sais que c est en pologne du cote de danzig merci de me repondre et qui sait peut etre que des prisonniers l ont connu sage paul ne le 13 12 1911 a bazas gironde mon tel 0607696588 mon mail alsage@hotmail.fr au plaisir de vous lire si je peux avoir des renseignements
Chers Amis, je suis musicologue polonais a Cracovie. Je travail sur le Stalag VIII A a Goerlitz pour etablir l’activite artistique et surtout musicale dans ce camp. Je cherche l’hebdomadaire « Le Lumignon » qui avait ete publie en francais dans ce camp. Je cherche surtout no. 1 (avril) 1941. Je m’interesse beaucoup de la captivite de grand compositeur francais Olivier Messiaen en 1940/1941 et aux tous les Polonais qui ont fait un cercle d’amis autour de lui. Je serai reconnaissant pour tous les informations possible.
Jerzy Stankiewicz
Bonjour à tous,
Généalogiste amateur, je cherche à reconstituer le parcours de mon père (dont biographie ci-jointe : https://gw.geneanet.org/ajflouriot_w?iz=2482&n=flouriot&oc=0&p=andre+pierre+adrien) durant la période 39-45, mais j’ai un « trou dans son CV » que je souhaiterais combler.
Fait prisonnier le 18 juin 1940 à Arcole près de Ouzouer sur Loire avec son régiment il a du être envoyé vers l’oflag XIIIA puisque je trouve dans ses documents un ensemble de planches aquarelles de J.M. Cardine concernant cet oflag. Mais, le XIIIA ayant fermé en octobre 1941, je ne connais rien du parcours suivant jusqu’en 1945 et fais donc appel aux bonnes volontés susceptibles de m’éclairer et les en remercie chaleureusement d’avance.
Marie-Andrée VIRIOT-JUGI 22 décembre 2018
Bonjour,
Mon père Marcel VIRIOT * – OFLAG XIII A, fut fait prisonnier le 24 juin aux alentours de Bruyère (?) – amené épuisé à la cristallerie de Baccarat, après 8 jours de marches et contremarches dans la nature..
En juillet 1940, est déplacé à Nuremberg.
Un 2ème voyage, fin été 1941, vers la Pologne, camp à Szubin .
Puis 3ème déplacement, hiver 42, en Autriche, Lienz an der Drau (Tyrol sud).
Enfin au printemps 1944, Edelbach, au nord ouest de Vienne.
Avec l’arrivée des Russes, le bruit courait que les rapatriements allaient se faire par Odessa. Les Américains qui se trouvaient à 60 km de là sont avertis par des prisonniers français pour être rapatriés…sur Paris, puis Nice
*Quelques écrits laissés par mon père