Une réflexion au sujet de « chantiers-de-jeunesse-N°1 »

  1. Mon père, né a PONTARLIER en 1919, a travaillé dans ce camp , ou il produisait du charbon de bois, dans des conditions sanitaires difficiles
    , A la dissolution du camp, en 1943 il me semble , pour retrouver officiellement la liberté , avec tous ses camardes , ils sont venus a pied jusqu’à SAINTES
    Leurs chefs pour une grande part, savaient que leur chemin seraient difficile , mais ne leur on rien dit.
    Il est revenu en ZONE INTERDITE,chez ses parents à PONTARLIER,
    Quelques mois plus tards, contraint et forcé, ( c’était lui , célibataire, ou son frère prés de 3 enfants ) il est parti au S.T.O. dans des conditions TERRIBLES , a LEVERKUSSEN dans une aciéries de blindage pour char d’assaut.
    Il a eu la chance d’échapper au bombardements et de revenir de cet enfer . Il est décédé en 1996 regrettant que le regard jeté sur ces garçons des chantiers de jeunesse, qui n’étaient certes pas des héros, aient souvent été méprisés, comme les malgré nous d Alsace ..

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